« L’éducation positive n’est pas l’éducation permissive mais une éducation qui pose un cadre, des actions fondés sur :
– l’indulgence (place de l’erreur : possibilité de se tromper, de l’investissement de l’enfant prêt à faire des efforts, à chercher …. même avec peu de résultat en un premier temps),
– la patience (adaptabilité à chaque enfant là où il en est, collaboration avec l’enfant pour un travail ensemble, fluidement),
– la confiance mutuelle.
L’objectif est d’amener l’enfant à trouver son espace de liberté, son autonomie grâce au cadre ferme de l’adulte veilleur.
Pour être ferme, il n’est pas utile de crier ou déployer des actes violents puisque l’enfant aura un temps de recul et de peur instinctive qui détruira ses capacités à apprendre
(par exemple lorsqu’un enseignant déchire une page d’un cahier dans lequel l’enfant s’est trompé).
Il est préférable de se mettre à la hauteur de l’enfant en prenant une chaise et, dans le groupe-classe, de s’asseoir face aux enfants en cercle, celui-ci constituant une harmonie ».
Françoise, enseignante Adelph Education